Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle la succession de chaque événement est déterminée en vertu du principe de causalité. Le déterminisme ne doit être confondu ni avec le fatalisme ni avec le nécessitarisme.
Ce furent les anciens, les Grecs notamment, qui, les premiers, posèrent le problème du déterminisme. Ils le firent sous le jour éthique. Au Moyen-âge, du V° au XV° siècle, la controverse acquit un caractère religieux et scolastique.
On distingue plusieurs formes de déterminisme. La forme théologique considère nos actions comme un produit de l'action divine, de la grâce, de la providence. Le déterminisme sensitif fait des sensations la cause unique des actions.
Et si mon autodétermination me permettait d'être mieux ?
Richard Bach dans Jonathan Livingston le goéland a écrit : « Nous sommes libres d'aller où bon nous semble et d'être ce que nous sommes ... »
A force de vouloir contrôler tout ce qui nous entoure, nous gaspillons notre énergie et perdons notre sérénité. D’où le “lâcher-prise”. Une attitude intérieure d’ouverture à la vie et aux autres.
Lâcher prise veut dire faire une pause consciemment, pour se recentrer sur le présent et rien que sur le présent. Cela ne veut pas dire baisser les bras, mais plutôt renoncer à ce qui n'est pas nécessaire pour mieux vivre. Arrêter de vouloir tout contrôler.
Nettoyer son héritage négatif permet de dépasser ses peurs, de développer sa créativité et de passer à l'action pour réaliser sa vie.
Le passé, notre passé est de l'histoire et notre futur ce que nous en ferons.
Le lâcher prise est dans la compréhension de nos mémoires l’acceptation du changement.
C’est cela le : Que votre volonté soit faite des chrétiens ou le Inch’Allah des musulmans.
Alors, les mémoires seront effacées, les énergies renouvelées avec la mise en place d’autres mémoires et les choses évolueront de façon étonnante et des situations inextricables se retourneront miraculeusement.
L’existence d’une vie psychique inconsciente, d’une importance primordiale, se révèle dans les actes dits manqués.
Freud désigne par ce nom les actes qui se produisent lorsqu’une personne écrit ou prononce, un mot autre que celui qu’elle veut tracer ou dire (lapsus).
Une autre série de phénomènes du même genre a pour base l’oubli d’un nom qu’on sait cependant et qu’on finit par retrouver plus tard.
Les actes manqués ne sont pas les effets du hasard. Ils ont souvent un sens. Les lapsus cachent une intention ou de tendances cachés et réprimés. Chez les normaux, ils sont très fréquents et souvent explicables. Chez les névropathes, ils prennent une telle importance qu’ils peuvent trahir les secrets les plus intimes du malade.
Cette acte est une tentative réelle de communication de notre moi le plus profond, de notre inconscient. Il serait plus juste, n’en déplaise à Freud, de parler d’acte réussi.
Cet acte réussi peut prendre la forme d’un lapsus, d’un geste maladroit ou dans sa forme la plus forte d’une entorse, accident de voiture quand notre moi intérieur n’est pas du tout d’accord avec un démarche diar notre raison raisonnable.
Connaissance, au moment présent, de ses actes, pensées et perceptions de manière plus ou moins étendue.
En psychologie, ce terme signifie la possibilité d'attention et de réflexion du Moi (conscience claire) et non pas la conscience morale.
Dans le conscient les choses apparaissent au fur et à mesure et sont concrètes. Cela commence par les énergies, ensuite les émotions et enfin la psychologie. Puis cela continue dans les méridiens, les organes et les membres.
De l’inconscient nous passons au conscient par une prise de conscience, certain préfèrent dire l’éveil de la conscience.
Il est préférable de comprendre les souffrances que nous vivons, plutôt que de les faire taire systématiquement par facilité ou recherche du confort en prenant des médicaments pour enlever la douleur ou de les rendre obligatoires par peur ( dogmes, fanatisme religieux ).
Ce n’est jamais une punition, simplement une nécessite de comprendre. Si nous bloquons l’enseignement de ces souffrances par la médication ou le fanatisme, nous ne faisons que les fixer localement et leur expression continuera ou empirera. Et généralement la souffrance s’exprimera ailleurs et d’une manière plus profondes ( cancer ), plus mobiles ( spasmophilie ) ou mutante ( virus ou sida ).
Nous pouvons éviter ces souffrances par une compréhension nouvelle, par un lâcher prise.
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